Eric Joisel: Balrogs
Gargouille ou Balrog?
« Voici le résultat des recherches que j’ai faites sur Google:
En architecture, une gargouille est une grotesque en pierre sculptée avec un bec conçu pour transporter l’eau d’un toit et loin du côté d’un bâtiment. Ils étaient un élément architectural préféré des cathédrales françaises du XIIIe et XVe siècle et faisaient souvent partie des gouttières. Les gargouilles sont généralement un animal fantastique allongé car la longueur de la gargouille détermine la distance à laquelle l’eau est projetée du mur.
Gargouilles
Le terme vient de la gargouille française, à l’origine «gorge» ou «gosier». Il est également lié au verbe français gargariser, qui signifie «se gargariser». Le mot néerlandais pour gargouille est «waterpuwer», qui signifie «cracheur d’eau» ou «vomisseur d’eau».
On dit que les gargouilles effraient et protègent de tout esprit mauvais ou nuisible.
Un Balrog est une créature démoniaque fictive des écrits fantastiques de la Terre du Milieu de J.R.R.Tolkien et apparaît comme un ennemi de Gandalf dans Le Seigneur des Anneaux. De telles créatures sont apparues pour la première fois dans son roman «Le Seigneur des Anneaux», bien qu’elles figuraient dans des écrits antérieurs qui étaient apparus à titre posthume dans «Le Silmarillion» et d’autres livres.
Les Balrogs sont décrits comme de grands êtres humanoïdes menaçants, capables de se couvrir de feu, d’obscurité et d’ombre. Ils semblaient fréquemment armés de fouets enflammés «de plusieurs lanières» et utilisaient parfois de longues épées. Dans la conception tardive de Tolkien, ils ne pouvaient pas être détruits avec désinvolture; une puissance importante était requise. Seuls les dragons rivalisaient avec leur capacité de férocité et de destruction, et pendant le premier âge de la Terre du Milieu, ils étaient parmi les forces les plus redoutées de Morgoth.
Regardez le diaporama ci-dessous pour voir une démonstration étape par étape de la création d’un balrog. Prendre plaisir. »
« Il y a beaucoup de choses sur la vie qu’Eric m’a appris. Premièrement, Eric dit ‘je dois souffrir’. Je réponds: ‘Je ne peux pas imaginer souffrir à votre échelle!’ Ce n’est pas seulement le nombre de plis, c’est l’exécution dans la tradition de grands sculpteurs comme Rodin ou Bernini, que des décennies de pratique n’en récompensent que quelques-uns. «La main la plus importante est votre main de soutien», poursuit Eric. Quoi?’ J’ai encore besoin d’aide avec celui-ci, mais cela a un sens intuitif pour tout ce que je fais. « Alors vous aimez ça, et cela … », et Eric m’a perdu jusqu’à ce qu’il rit. Un rire Joisel peut évaporer toute souffrance. Pour moi c’est un tel cadeau. «
Bernie Peyton